MA PERSONNALITE › Wendy est une femme qui peut paraître très hautaine au premier abord, une fois qu'on arrive à briser un peu la glace on se rend compte qu'elle est bien loin de l'image qu'elle donne. Cette image c'est seulement pour se protéger, parce qu'elle a terriblement peur de souffrir, enfin au départ c'était sensé être une image et c'est un peu devenu machinal de se l’approprier. Elle a toujours été soucieuse de l'aspect qu'elle donnait et de l'image qu'elle renvoyait, c'est selon elle un moyen de pouvoir se préserver, de ne pas montrer ses faiblesse ou de les montrer à qui elle le souhaite. Elle est d'un naturel calme et réfléchi, mais il ne faut pas trop la chercher, elle sait affirmer ses choix et défendre ses intérêts ou ceux de ses amis, ceux des personnes en qui elle croit. Elle est très têtue, elle ne laissera jamais tombé quand elle s'accroche ou qu'elle défend une cause, elle ira jusqu'au bout. Wendy est quelqu'un en qui on peut faire confiance, elle est une vrai tombe et ne trahira jamais quelqu'un qu'elle aime. Elle n'est pas rancunière, la vie lui a apprit à accepter le pardon.

Elle aurait aimée avoir un destin tel que Wendy Darling, mais si son prénom peut faire penser au célèbre dessin animé, la demoiselle n'est pas du tout à l'image du personnage de conte à commencer par sa vie. Elle est née en Angleterre à Bournmouth. C'est une née moldue, elle ne connaissait pas la magie avant d'aller à Poudlard. Ses parents ont toujours étés là pour elle. C'était un peu la petite princesse de la maison. Ils n'étaient pas forcément riche, mais s'arrangeaient toujours pour qu'elle ne manque de rien. Wendy était une petite fille joyeuse et calme. Dès son plus jeune âge, la lecture à fait parti de ses passions. Elle aimait se projeter dans les mondes fantastiques de ses bouquins, bien plus amusant que la réalité. Elle s'entendait bien avec les enfants de son âge, elle n'avait pas de mal à se faire des amies, bien au contraire, on l'appréciait pour son naturel et déjà pour sa petite force intérieure. Elle était souvent là pour aider ses amis, elle s'est aussi rendue compte que parfois ce n'était réciproque.

La demoiselle à donc grandie dans l'amour et dans la bonne humeur, son enfance n'était pas parfaite, mais presque et le jour où elle a reçut sa lettre fut sans doute le plus beau jour de sa vie, du moins il méritait un 9/10, le plus beau viendrait après lorsqu'elle est devenue maman. Wendy avait toujours cru que ses rêves de magie qu'elle avait pu faire, n'étaient que des rêves. Elle s'était souvent imaginé être une sorcière avec un chapeau pointu et un balais volant, mais avait toujours décidé qu'elle serait une gentille sorcière et pas une de ces horrible vieille dame avec des verrues sur le nez alors lorsqu'elle reçut sa lettre elle eut bien du mal à croire que ce n'était pas une blague. Elle avait déjà jetée sa lettre à la poubelle mais le lendemain en avait trouvée une autre. Elle comprit alors que ce n'était pas une blague, après tout il s'était déjà passé des choses étranges. Elle avait réussie une fois à attraper un paquet de guimauves, du moins il était venu jusqu'à elle sans qu'elle ne sache pourquoi et puis cette fois ou elle cherchait une cachette chez une amie et qu'elle était allé voir au grenier, la porte s'était ouverte alors qu'elle l'avait juste pensée. Wendy avait sourit et avait sauté de joie faisait sursauté ses parents qui eurent aussi du mal à le croire.

Pourtant en septembre elle passait les pas du château et commençait son apprentissage. La jeune fille était intimidée par la grandeur du lieu et elle avait peur de ne pas savoir s'en sortir, surtout lorsqu'elle comprit que certains connaissaient la magie depuis longtemps. Wendy fut envoyée à Gryffondor. Elle s'adapta rapidement et rattrapa son retard sur les autres. Elle travaillaient dur pour être dans les premiers, jamais première car elle préférait laisser la place aux autres, tant qu'elle n'était pas dans le bas du classement. Elle s'intéressa vite aux rudiments de la médicomagie et su que c'était ça qu'elle souhaitait être, c'était un peu comme être infirmière et elle le serait comme sa maman l'était. Elle connu ses premiers amour à Poudlard à l'âge de quatorze ans, elle tomba amoureuse d'un serdaigle, William, elle eut son premier baiser avec lui et il la laissa tomber lorsque l'été arriva. Elle était sortie avec un autre garçon avant son retour au château, un moldu, il était son voisin et ils avaient passé un bel été, l'été de ses quinze ans, mais avant qu'elle ne reparte pour poudlard il lui avoua qu'il déménageait à Londres. En retourna au château William revient vers elle et ils sortirent ensemble à nouveau.

A la fin de ses études la demoiselle commença une formation à St Mangouste. Elle fut acceptée après une son apprentissage en tant qu'infirmière. Elle resta quelques années infirmière puis à vingt-cinq ans, elle devient médicomage, vingt-cinq ans. C'est aussi à cet époque qu'elle tomba enceinte et qu'elle perdit William. Ils n'avaient pas le même point de vu sur la famille, lui ne voulait pas d'enfants et pensait avant tout à sa carrière. Il venait d'entrer au minist-re après avoir été journaliste à la gazette et ne voulait pas gâcher sa chance, au grand désespoire de Wendy qui se retrouva donc seule avec un enfant. C'était une petite fille. Elle l’appela Beth et dès qu'elle fut née elle mesura la chance qu'elle avait d'être devenue maman. Ce n'était pas facile tous les jours de s'occuper d'un bébé et d'aller travailler, heureusement qu'elle pouvait compter sur ses parents pour qu'ils s'occupent de leur petite-fille.

Wendy essayait de passer le plus de temps possible avec sa fille, elle voulait être là pour elle. Son travail lui prenait aussi beaucoup de temps. Lorsque le nouveau gouvernement s'installa, Wendy eut du mal à croire ce qu'elle voyait, comment son monde pouvait partir aussi mal? Elle ne voulait pas de ça pour sa fille. Elle craignait que cela devienne pire et c'est devenu pire. La frontière qui fut installée rendit Wendy furieuse. Comment osaient-ils? Elle trouva un moyen de faire partie de la résistance et pu ainsi aller déposer sa fille chez ses parents. Elle préférait qu'elle grandisse encore à l'écart de la magie pour le moment, sans pour autant qu'elle ignore ce qu'elle était. Elle n'avait que sept ans après tout, ça serait dur de se séparer d'elle mais elle passerait la frontière de temps en temps pour la voir, quoi que ça puisse lui coûter.